La yourte de guerre

Le quriltai est en ce jour convoqué par le Khan Tcharaq Altan !

Notre clan grandit et prospère. Afin de transmettre un message clair sur notre force et convaincre les indécis de nous rejoindre nous pensons qu'il serait bon que notre clan ait une grande victoire à son actif, une victoire qui pourrait raisonner à travers les steppes et contribuer ainsi à notre affirmation. Cela sera alors l'occasion de se forger une réputation: soyons bons avec nos amis et terribles avec nos ennemis.
Dans cette optique, nous envisageons, en période de climat plus favorable, de mener une grande opération militaire contre le peuple tungustique afin que celui-ci reconnaisse notre autorité. Nous envisageons donc de marcher en territoire tungustique, notre armée sera précédée d'un dispositif de diplomates qui viendront proposer l'intégration, ils pourront alors soit l'accepter dans quel cas les chefs pourront conserver un certain pouvoir, percevoir une partie des butins et poursuivre leurs cultes ou s'y refuser et dans ce cas notre armée entrera en action et ne fera preuve d'aucune pitié.

Sans nuls doutes, face à l'étendue de nos armées, certains préféreront nous rejoindre, agrandissant par là nos rangs, d'autres s'y opposeront et alors nous y gagnerons une réputation et un butin !

Que pense les membres du quriltai de ce projet ?

Très bien ! Nous suivrons donc l'avis des Noyans ! Ainsi, nous mènerons une expédition à l'encontre des tribus du sud. Pour cette mission nous mobilisons 5 000 hommes (3 000 cavaliers des steppes et 2 000 cavaliers lourds).

A la saison douce, nos hommes avanceront. Ils seront donc précédé de messagers. On s'attachera à suivre les traces et à repérer les différents points d'eau afin de pouvoir repérer quelques tribus. Bien entendu, du fait des remarques judicieuses des Noyans, nous n'irons pas loin au Nord mais nous nous contenterons d'action en territoire plus clément.
Une fois un campement repérer, notre armée prendre une longue formation linéaire afin de couvrir une large partie de l'horizon et de donner aux petites tribus de cette contrée une impression de supériorité numérique plus importante. Un messager se rendra alors auprès du chef de la tribu et lui proposera l'accord suivant:

-Reconnaissance de l'autorité du Khan.
-Loyauté et fidélité envers le Khan.
-Tribut chaque année en essence de bois rare et en fourrure.
-Levé d'hommes en cas de guerre si le Khan en appel à lui.
-Le Khan et son armée s'occuperont personnellement de ses rivaux.
En contre partie, le chef de tribu recevra:
-Un titre de noblesse.
-Il pourra avoir accès à un conseil spécial auprès du Khan pour les affaires touchant ces contrées.
-Conservera ses pratiques religieuses.
-Il recevra une part du butin en cas de guerre.

Alors qu'en cas de refus cela sera l'anéantissement le plus totale !

Si un chef de tribu accepte alors il sera bien traité. Après s'être renseigner auprès de lui sur ses rivaux et les positions éventuelles d'autres tribus alentours. L'armée reprendra sa route et adoptera toujours la même méthode (alignement de troupes pour provoquer l'effrois et les pousser à accepter diplomatiquement, proposition diplomatique, en cas de refus alors engagement du combat en cas d'acceptation on poursuit la route).
En cas de refus, l'armée engagera donc le combat. L'armée combattra dans des conditions qui lui sont relativement bien connues. Aussi la méthode d'affrontement habituelle conviendra. Cependant, du fait de notre recrutement de cavaliers lourds, nous intégrerons ces derniers afin de tenter de trouver une méthode pour les utiliser efficacement dans ces affrontements qui seront sans nulles doutes des combats montés. Les archers montés feront des passage en adoptant une formation ovale sans jamais charger de front ni reste sur place. On adoptera cette méthode un certain temps. Ce ne sera que lorsque le combat sera bien engagé que les cavaliers lourds feront leur apparition afin de rompre la "monotonie" de la bataille, en effet, profitant de la confusion du tournoiement des archers montés (peut être selon le lieux de la poussière que leurs mouvements produiront), les cavaliers lourds sortiront de l'ombre par une charge en longeant les couloirs de déplacement utilisés par les archers montés pour ne pas que l'ennemi ne les voient arriver immédiatement. Ils pourront ainsi prendre de la vitesse et sortir des rangs en plein galot pour détruire la formation adverse.

Plan de bataille:

Après la bataille, en cas de victoire, les survivants seront tous massacrés, les chefs de tribus exécutés, les biens saisis (bétail, richesses, tentes etc...) saisies. Hommes, enfants et vieillards et vielles femmes de la tribu seront exécutés. Les femmes, en age d'enfanter, seront cependant emmenés pour servir d'épouses à des hommes du clan. On ne laissera qu'une dizaine de survivant afin de parfaire notre réputation et que chacun sache ce qu'il en coute lorsque l'on refuse nos offres, nous travaillerons ainsi la peur de nos futures ennemis !

Si jamais, toute la région Sud venait à accepter et reconnaître notre pouvoir (sait-on jamais) on rentrera en bon ordre chez nous et annoncera une convocation prochaine pour la création d'un statu particulier.

Le quriltain est en ce jour convoqué par le khan Tcharaq Altan !

En effet, nous souhaitons proposer aux Noyans une nouvelles opérations militaires. Suite à notre éclatante victoire sur les tributs tungunstiques voisines, nous pensons que nous disposons à présent du prestige et de la force suffisante pour mettre à bas l'un de nos principaux clans rivaux. Nous pensons par là aux Ongirrads. Ces derniers, sans avoir la puissance des Merkits ou des Tartars, n'en sont pas moins redoutables et les soumettre nous permettra d'asseoir notre contrôle des steppes mongoles et de viser par la suite un objectif plus grand encore. Sans compter que nous pensons que cette victoire sur ces vieux rivaux pourrait être un atout diplomatique pour nous afin de voir d'autres clans comme les Tanguts et Naimans nous rejoindre de leur plein grès. Bien entendu, pour preuve de notre bienveillance, nous pourrons laisser une ouverture diplomatique et pacifiques aux Ongirrads par le biais d'un ultimatum comme cela fut fait avec les tungunstiques. Cela fera travailler ainsi notre réputation et l'intransigeance que nous adopterons en cas de refus.

Que pensent les membres du quriltai de ce projet ?

Nous proposons aux Noyans d'adopter le plan suivant:

Dans un premier temps, un diplomate ira à la rencontre du seigneur des Ongirrads. Il leur proposera de rejoindre le clan et de reconnaître par là l'autorité du Khan Tcharaq Altan. En cas de refus, notre diplomate reprendra la route sans menaces, ni pressions.

Selon nos renseignements, il y a plusieurs points d'eau sur lequel la tribut des Ongirrads se regroupent. Ces points d'eau ont une nécessité vitale pour le clan des Ongirrads. Sans eux, ils ne pourront se ravitailler. Or la soif est sans nulle doute une arme encore plus terrible que la faim ! Cependant, il ne serait point honorable d'empoisonner cette eau utilisée sans nuls doutes par d'autres tributs au cour de l'année et de frapper un ennemi alors sur le repos par une si fourbe et maligne méthode. C'est la raison pour laquelle nous proposons le chose suivante: un point d'eau sera choisit, ce point d'eau devra être dans une région quelque peu montagneuse (disposant de collines). Ce point d'eau sera rendu insalubre. Pour ce faire on y mettra des carcasses d'animaux en décomposition afin qu'elle ne puisse être bu. Le camp adverse ne pourra alors s'installer en ce lieux et sera dans l'obligation de faire route vers le point d'eau le plus proche et se sera sur la route séparant l'adversaire de ce point d'eau que nous frapperons. Alors que certains commenceront peut être à souffrir quelque peu de la soif, alors qu'ils avanceront sur une route qu'ils connaissent et pratiquent régulièrement, nous sortirons des ombres pour frapper dans la surprise l'ennemi.
Les hommes se positionneront derrière les collines de la région afin de se dissimuler. Lorsque le signal sera donné, les troupes rentreront en action. Les archers montés se positionneront sur les hauteurs et feront feu à volonté. Ils conserveront les méthodes habituelles de combat et resteront en mouvement sur les hauteurs. Profitant des troubles que leurs actions causera, Les cavaliers lourds monteront la collines et profiteront du déniveler pour gagner de la vitesse et charger de massivement l'avant-garde de l'armée adverse à pleine vitesse. Après avoir anéantit la tête du cortège, les cavaliers lourds reviendront sur leurs positions derrière les collines sous le couvert des tirs de nos archers montés. Les cavaliers lourds protégeront et soutiendront les archers montés (des adversaires se seront sans doute lancés sur eux) aussi ces derniers s'occuperont d'éventuels poursuivant. Dans le cas contraire, si le désordre chez l'ennemi est tel qu'il ne s'élance pas sur nos archers-montés ou que les cavaliers lourds parviennent à repousser les assaillants, alors les cavaliers lourds, reprendront de la vitesse pour charger l'arrière garde cette fois de l'armée adverse pendant que nos archers montés s'occupent du centre de l'armée ennemie avant ensuite de charger le centre. L'objectif étant que le gros des forces ennemis restent face à nos archers et ne peuvent effectuer une manoeuvre de contournement contre nos archers montés leur permettant de faire leur oeuvre.

Plan de Bataille:

En cas de victoire, du fait du refus diplomatique proposé, Les survivants seront tous massacrés, les chefs de tribus exécutés, les biens saisis (bétail, richesses, tentes etc...). Hommes, enfants et vieillards et vielles femmes de la tribu seront exécutés. Les femmes, en age d'enfanter, seront cependant emmenés pour servir d'épouses à des hommes du clan. On ne laissera qu'une dizaine de survivant afin de parfaire notre réputation et que chacun sache ce qu'il en coute lorsque l'on refuse nos offres, nous travaillerons ainsi la peur de nos futures ennemis !

Un tel plan est-il accepté par les Noyans ?

Pour assurer l'union des Mongols il n'y a qu'un pas ! Seuls les Merkits, nos rivaux et ennemis continuent de s'opposer à notre autorité. Cela n'a que trop duré et il est temps d'y mettre un terme, un terme définitif ! Nous allons donc mener une campagne de force contre cet ennemi. La surprise ne fonctionnera plus, aussi, on jouera sur la provocation pour remporter la victoire tant espérée.

La totalité de nos armées, soit 12 500 hommes, est mobilisée pour cette campagne. Notre armée se positionnera, en nos terres, à la limite du territoire Merkit, non loin des routes empruntés par les Merkits lors de leurs déplacements. Ils resteront sur ces positions le temps qu'il faudra, jusqu'à ce que les Merkits se montrent. Chaque jour, chaque matin l'ordre de mission et l'organisation sera la même jusqu'à ce que les Merkits empruntent les routes proches et que la bataille s'engage:
3 000 cavaliers des steppes entrerons sur le territoire Merkit, ils ne tenteront pas de se faire discret, ni de se dissimuler des groupes d'éclaireurs. Au contraire, l'objectif est qu'ils se fassent repérer par les forces Merkits sur leurs terres afin de les obliger à défendre celles-ci. Ils porteront tous un bouclier rond en leur dos afin que lors de leur retraite on ne compte qu'un minimum de perte. Lorsque nos troupes remarqueront un groupe d'éclaireurs, elles les laisseront repartir, sans les prendre en chasse afin que leur présence soit signalé à l'ennemi. Pendant ce temps, sur notre territoire, les cavaliers lourds (5 000 hommes) et les cavaliers des steppes restant (4 500 hommes) se dissimuleront derrière les collines environnantes, les cavaliers lourds prenant position davantage vers le Sud et les cavaliers léger davantage vers l'Est ou l'Ouest selon ce qu'offre le terrain.
Pour en revenir à l'action des 3 000 cavaliers, une fois repérés, ces derniers se rapprocheront légèrement de la frontière de notre territoire. Pour pousser davantage les Merkits à réagir et à mobiliser un nombre suffisant d'hommes, nos hommes n'hésiteront pas à approcher les points d'eau, à lancer de petits incendies sur des herbes propices aux patures du bétail des Merkits. L'objectif étant de mettre ces derniers suffisamment en danger, de leur nuire assez, pour obliger le chef des Merkits à réagir et à mobiliser ses hommes. Notre escouade se tiendra sur une position dégagée (à faire au mieux selon le terrain) afin de voir venir l'ennemi au maximum. Une fois celui-ci en vu, il devrait être en supériorité numérique, les troupes les chargeront en usant de leurs arcs. Cependant, avant de rentrer en contact avec l'ennemi, ils prendront la fuite. Une fuite réelle vers notre domaine et le lieux où se dissimule le gros de nos troupes. Mais cette fuite ne se fera pas à vive allure, il faut donner à l'ennemi l'espoir de rattraper nos hommes et d'exercer sa vengeance, pour cela nos hommes ralentiront quand cela est nécessaire afin que l'ennemi puisse garder une certaine proximité pour poursuivre sa charge. Nos hommes, une fois en nos terres, rejoindront la position de nos cavaliers lourds. Lorsque le son des chevaux galopant se rapprochera, les cavaliers lourds sortiront de leur cachette et chargeront l'ennemi. Puis se sera le tour des cavaliers légers de fondre sur l'ennemi et d'user de leurs flèches. Les 3 000 cavaliers des steppes feront ensuite demi-tour pour se joindre à l'affrontement. On ne stoppera la bataille qu'à la mort du chef ennemi et à la soumission de son clan à notre autorité !

Nous proposons de profiter de l'accord accepté par les Tatars pour la traversée de leurs terres pour porter un grand coup aux Jurchens. En effet, un nombre d'hommes important de l'armée Jurchen a dus se rendre en territoire chinois pour profiter des pillages, aussi, nous serions bien sot de ne pas en profiter et nous proposons le plan suivant, un plan simple et rapide:

Nous mobilisons pour cette campagne 15 000 hommes (5 000 cavaliers lourds et 10 000 cavaliers des steppes). Nos hommes vont donc traversée le territoire tatar et se diviseront une fois en territoire Jurchen.
5 000 hommes (1 000 cavaliers lourds et 4 000 cavaliers des steppes) arpenteront les steppes du Nord afin de soumettre des clans locaux et de les rallier de force au Khanat mongol. Les cavaliers lourds dans cette mission resteront toujours en retrait, en effet, si les clans en question venaient à lever une armée numériquement importante, les cavaliers des steppes pourront exercer un repli stratégique vers les positions des cavaliers lourds avant de faire volt-face accompagnée de la puissance de la charge de notre cavalerie lourde. L'objectif est de porter un grand coup pendant qu'une part importante de l'armée Jurchen se trouve en Chine, occupée à se livrer à d'importants pillages. Si les troupes adverses présentent sont trop nombreuses, on préférera fuir le combat et revenir régulièrement dans cette partie Nord du territoire Jurchen.
Pendant ce temps, les 10 000 hommes prendront position au Sud du territoire Jurchen, non loin de la frontière du Liao. Ils prendront position sur un lieu avantageux et se dissimuleront dans un passage propice aux embuscades. L'objectif du gros de cette armée est de surprendre une part importante de l'armée adverse, qui reviendra alourdit par l'or de ses pillages, de donc de faire d'une pierre deux coups: non seulement s'accaparer les dernières richesses des Jurchens mais aussi exterminer une partie importante de leur armée. Il est probable que les armées Jurchens en Chine apprennent notre présence, cela n'est point un problème, car ils apprendront notre présence au Nord de leur territoire (avec nos 5 000). Si ils l’apprennent ils se hâteront donc et leur précipitation ne rendra notre plan et notre embuscade que plus efficace, la précipitation coutant toujours fort cher aux armées.
Une fois cela fait, les troupes monteront vers le Nord pour porter main forte au reste de l'armée. Sur sa route, l'armée ne manquera pas de soumettre des chefs locaux jusqu'à la réunification de l'armée.

Guerre Jurchen - 937

Pour l'an prochain, il importe de tenir un plan de défense de nos terres, en effet, les Jurchens font peser une réelles menaces sur nos terres et sur les clans. Aussi, avec les 2500 hommes venant des Merkits et des Tatars ayant acceptés de s'en reportés à nous pour les défendre face à la menace Jurchen, nous allons organiser la défense de nos terres. Dans un premier temps, il est clair que si l'ennemi pousse davantage son attaque en nos terres, nous n'aurons pas de quoi lui tenir tête. Aussi, les troupes n'engagerons jamais le combat, on se contentera d'une méthode de harcelement, sans jamais engager le combat directement. On préferera des attaques de nuits, attaquer directement le campement à l'aide de flèches enflammées avant de prendre la fuite, se poster en des points stratégiques pour harceler l'ennemi avant de disparaître.

De son coté, la totalité de nos troupes vont poussées leur avancée dans les montagnes cotières. L'objectif étant de ne laisser aucune poche de résistance en arrière et de soumettre ces clans démunis d'hommes pour les défendre avant le retour des forces du Khan Jurchen. On s'appuiera donc sur une avancée massive et une victoire sur le nombre pour nous en sortir. Cependant, on limitera les pertes, aussi, on laissera les Tatars prendre la tête des marches dans ce secteur, ainsi si un des khans tatars présent venait à succomber à ses blessures (au cours d'une embuscade dans ce secteur par exemple) on exigera de ses hommes fidélité et reconnaissance d'autorité au nom de notre statut et de notre force à diriger les peuples.
A la fin de l'année, après avoir soumit ces clans à notre autorité et conquit ces régions on se rendra au coeur du territoire khitan en paix afin de rassembler nos forces avec les siennes comme prévu. Si nous venions à rencontrer sur la route le gros de l'armée Jurchen on priviligera un repli vers les montagnes cotière afin de bénéficier d'un atout sur le plan stratégique, ainsi, en cas de poursuite de nos ennemis, nous pourrons nous diviser et tendre des embuscades à nos adversaires jusqu'à les pousser à faire marche arrière. Dans ce cas, on restera sur nos positions dans l'attente du khan khitan.

Guerre Jurchen - 938

Pour l'an prochain on s'attachera à répondre au Khan des Jurchens par la force. En effet, fort de l'entrée en guerre des Khitans, nous allons revenir en nos terres afin de vaincre sur le champ de bataille le Khan et de sauver notre peuple. Celui-ci préférera un repli vers les zones montagneuses du Nord. En effet, le Nord est composé d'importante montagne dans lequel le peuple pourra se dissimuler, tendre des embuscades et ralentir grandement la progression ennemie et lui faire éprouver les mêmes difficultés que nous avons nous même éprouver dans le sud de la Mandchourie. Sur notre passage, si nous venons à rencontrer d'autres clans Tatars, face à notre grande armée, on les invitera à nous rejoindre et à reconnaître notre autorité de Khan. Nous leur promettrons alors la libération de leurs terres, et l'octroie d'un domaine bien plus important (du fait du départ des autres tribus tatars). De plus, afin de sympathiser avec le Khan des Khitans, nous resterons toujours à ses cotés lors des arrêts et des campements afin de nous rapprocher de ce dernier et de gagner sa confiance et son amitié.

On obligera l'ennemi à un combat direct. On en appellera à l'honneur et à la fierté du khan Jurchen lors d'un combat déterminant sur nos terres. Du fait de notre supériorité numérique écrasante, il est peu probable que le khan jurchen accepte l’affrontement direct. Aussi pour le pousser à cela, les troupes mongoles et tatars resteront en arrière, laissant les Khitans aller de l'avant. Ce ne sera que lorsque le combat sera engagée depuis un certain temps et que la fatigue commencera à gagner les deux cotés nos forces feront leur apparition. On concentra l'action de nos troupes sur une seule chose: le khan Jurchen. Si celui-ci tombe il est alors fort à parier que ses hommes stopperont le combat. On réclamera alors immédiatement leur soumission à nouveau khan: le khan mongol ! Si ils refusent se sera la mort, si ils acceptent alors ils seront pardonnés, de nouvelles terres leurs seront attribués, les nobles pourront garder leurs titres et des nouveaux viendront grandir les rangs de la noblesse du fait des morts lors de la guerre.

[double-post]

Avant le combat (si il a lieu) on se préparera au mieux, une procession sera organisée afin de plaire aux dieux pour un montant de 10 taels. On sacrifiera 3 boeufs et fera une offrande d'un montant de 10 taels aux dieux. Le Khan revêtira sa plus belle armure afin d'étinceler sur la steppes, on préférera pour monture une grande rapidité à une grande endurance.
Au niveau des armes, outre l'arc, on s'équipera d'une lance courte pour la charge (et pouvant à l'occasion servir aussi de javelot à courte disance), on s'équipera d'un petit bouclier rond pour se protéger des flèches et d'une éventuelle charge touchant son but. Enfin, concernant la lame, on préfera une lame courte pour sa maniabilité une fois arrivée au corps à corps.